[Libre] Joue avec moiiiiiiii

*A cause des protections magiques, Peeves n'a absolument pas accès aux toilettes des garçons pour s'amuser à les observer ou pour ouvrir tout les robinets. Face à cette profonde injustice il décida tout simplement d'arriver en avance dans la Grande Salle et d'écrire à la craie des grossièretés sur les murs*


"Vous avez des faces de citrouilles"

"Clovis à fait pipi au lit dans son dortoirs"

"La dame grise sent la chaude pisse"

"Les serpents sSssssifflent les filles à midi"

*Saute de table en table pour aller d'un mur à un autre*

*Arrive à ce moment dans l'espoir de chiper un petit pain au chocolat à la table des Poufsouffle, quand il voit l'esprit frappeur faire des siennes. Ah, la bonne époque où il parvenait à le terroriser lorsqu'il était encore fantôme...*

Quel est l'adage déjà ? Quand le basilic n'est pas là, les araignées dansent ? Quelque chose dans le genre.

*Mine de rien, il avait encore un peu peur de toi. Et tu le surpris tellement qu'il hurla de peur en entendant ta voix grave !*

AAAAAAAaaaaaaargh !

*Cours se mettre accroupi derrière une table. Tremble*

J'ai rien fait !

*Jette la craie dans un gobelet pour cacher son arme du crime*

Et d'abord c'est quand les chats ne sont pas là que les souris dansent

*Reprend son calme, tu avait l'air moins effrayant en étant fait de chair et d'os*

Certes, c'est l'adage moldu, mais une petite adaptation me semblait de circonstance.

*approche de la table où tu te caches*

Je n'apprécie pas trop les petits mots que vous avez écrit sur le mur. Un en particulier. Cela vous amuse de détériorer l'établissement qui a la gentillesse de vous accueillir, et d'en déshonorer ses habitants ?

*Se redresse et fait le poirier. En te voyant à l'envers tu faisais moins peur*


Cela ne déshonore que ceux qui se sentent visés, hihihi.

*Recule en marchant sur ses mains, ne veut pas que tu te rapproche trop*

Il me semble que citer nommément "La Dame Grise" soit une visée plutôt précise. Et j'ignore si vous le savez, mais j'ai promis de défendre sa vie et son honneur. Le fait que vous soyez un esprit ne m'empêchera nullement de vous faire payer votre forfaiture....

*approche encore, l'air sévère*